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[Test] The Last Of Us

Enfin ! Enfin nous avons pu mettre la main sur ce jeu tant attendu. Est-il à la hauteur de nos espérances ?

Ce test ne contient pas de spoil sur l’histoire.

Je remercie au passage PlayStation France pour l’envoi du jeu pour la réalisation de ce test.

Crédits

  • Plateforme : PS3 (support du test)
  • Date de sortie : 14/06/2013
  • Développeur : Naughty Dog
  • Editeur : Sony
  • Type de jeu : Survival horror
  • Nb de joueurs : 1
  • Online : Oui
  • PEGI : 18
  • Périphériques : aucun

Menus & Modes de jeu

Tout commence à notre époque, alors qu’un virus, ou plutôt un champignon, le cordyceps, qui s’attaquait jusqu’à lors uniquement aux insectes, a muté et infecte désormais l’homme. Ce champignon a la particularité de s’implanter dans le cerveau et de prendre le contrôle de son hôte pour le diriger à un endroit propice à son développement. Un humain infecté passe par différentes phases de contamination et de comportement. Très rapidement c’est la panique un peu partout car les infectés s’attaquent aux personnes saines, et rapidement la pandémie s’étend sur l’ensemble du globe.

En 2033, soit 20 ans plus tard, la face de la civilisation a bien changé. Tout est délabré, la végétation tente de reprendre le dessus sur le bitume, les humains sont réfugiés dans des zones de quarantaine militarisées et rationnées. Joel a connu le monde avant la pandémie. Aujourd’hui, il est passeur, c’est-à-dire qu’il s’aventure parfois en dehors des zones protégées afin de faire passer des objets à des groupes qui vivent dans ces zones hostiles. C’est là qu’errent les infectés.

Durant l’une de ces missions, il ferra la rencontre d’une jeune adolescente, Ellie. Les choses vont faire qu’ils vont devoir faire un bout de chemin ensemble, en tentant de survivre tant bien que mal.

Voilà pour l’histoire sans les détails, car il serait dommage de vous gâcher la surprise, et justement des surprises et des rebondissements vous allez en vivre pas mal durant ce long et périlleux voyage. Cette aventure contient son lot de passages émouvants, drôles, effrayants, stressants. Le tout est très bien amené et on se laisse porter par l’histoire du début à la fin. Au cours de l’aventure, vous devrez en plus d’éviter ou d’affronter des ennemis, aussi bien infectés qu’humains, récupérer tous les objets et vivres qui pourront vous aider à confectionner des armes, vous soigner et améliorer vos compétences de survie.

L’immersion et l’impression de survie sont très bien retranscrites, vous pourrez apprendre à force de faire, en observant des créations d’autres survivants ou en lisant des manuels. En jouant, vous n’aurez aucun temps de chargement (sauf au lancement de la partie où c’est un peu long), et toute l’aventure s’enchaine (avec quelques cinématiques), si bien que vous n’aurez pas l’impression de faire des chapitres (sélectionnables ensuite depuis le menu principal) et il sera difficile de s’arrêter.

Le jeu est jouable dans 4 niveaux de difficulté : facile, normal, difficile et survivant, ce dernier se débloquant en terminant une première fois le jeu dans n’importe laquelle des 3 autres difficultés.

Une fois le jeu terminé, il est possible de refaire des chapitres donc, ou de faire une nouvelle partie+. Durant cette nouvelle partie+, vous conservez votre progression en termes d’amélioration d’armes et de compétences, en revanche vous ne récupérerez les armes que lorsque c’est prévu dans l’histoire.

A côté du solo, un mode multijoueur nommé Faction est proposé. Avant de vous lancer, vous devrez choisir un camp : les chasseurs qui sont les autochtones, ou les lucioles qui sont des nomades. Ce mode de jeu se présente sous forme d’une campagne. Il vous faudra survivre avec votre faction durant 12 semaines, chaque jour correspondant à une partie (cela représente donc 84 parties dans chacune des 2 factions).

Les parties se présentent soit comme un match à mort, soit comme une élimination pour reprendre les termes d’Uncharted. Durant ces matchs, en plus de tuer les adversaires, il vous faudra récupérer des vivres et des objets pour confectionner de nouvelles armes, et dépouiller les victimes de leurs vivres. Plus vous en récupérez, plus d’autres membres se joignent à votre faction (ce sont des personnes fictives). Mais plus vous avez de membres dans votre faction, plus vous aurez à récolter de vivres pour subvenir à leurs besoins.

En plus de cela, certains jours un défi vous sera imposé, avec à la clé de nouvelles recrues, la perte de recrue ou pire encore la fin de votre faction et donc de votre campagne. Ces défis sont à réaliser durant vos parties, vous aurez 3 parties pour y parvenir.

Si vous survivez jusqu’à la fin des 12 semaines, vous pourrez relancer une campagne en changeant de faction.

Ces originalités ne changent pas grand-chose au déroulement des matchs qui restent très classiques même s’il faut jouer tactique entre le fait de tuer, de ramasser des vivres et de ne pas se faire tuer. Il est parfois préférable de ne pas trop gonfler les effectifs de votre faction pour ne pas avoir d’objectifs trop difficiles à atteindre.

Le tout se déroule dans les environnements semblables à ceux rencontrés durant le solo, et il est conseillé de jouer en coopération avec vos 3 coéquipiers si vous voulez vous en sortir.

Commandes & Jouabilité

Le gameplay est assez classique. Le sert à frapper, le à ramasser des objets ou interagir avec le décor ou les personnages rencontrés (il y a beaucoup de dialogues optionnels à déclencher).

Le permet de s’accroupir, à courir, à viser et à tirer/recharger. active le mode écoute. Durant ce mode, le personnage (aussi bien en solo qu’en multi même si en multi l’utilisation est limitée) s’accroupit et écoute tous les bruits environnants. Cela permet de distinguer la position des ennemis s’ils parlent ou s’ils bougent, et on observe alors leur silhouette à l’écran. On peut imaginer qu’en situation réelle on puisse effectivement deviner la position d’un ennemi en étant attentifs aux bruits, mais ce mode reste un peu abusif et casse l’effet réaliste du reste du gameplay du jeu. Il sera d’ailleurs désactivé lors d’une partie en survivant ainsi que les boutons lors des interactions qui ne seront plus affichés à l’écran. Toutes ces actions se font naturellement. On appréciera le côté réaliste dans les mouvements de Joel qui n’apparait pas comme un surhomme. En effet, pas de sauts exagérés ni d’escalade périlleuse.

Le fait aussi que pour changer d’arme, il faille s’accroupir et fouiller dans son sac, rend les situations plus crédibles et stressantes. De même que pour confectionner des soins ou des objets, des coktails molotov ou autre, il est préférable d’être planqué en lieu sûr, car cela prend du temps.

Il faudra aussi parfois déplacer des objets comme des échelles pour se frayer un chemin.

Niveau affrontement, vous avez la liberté d’adopter une attitude qui vous correspond. En effet, vous pouvez choisir de rentrer dans le tas, auquel cas il faudra avoir les munitions suffisantes, ou bien vous la jouer infiltration. Dans ce second cas, vous aurez là encore le choix de passer discrètement sans vous faire repérer et sans tuer personne, ou bien d’éliminer un à un les ennemis en toute discrétion.

Le fait que les objets tels que des barres de bois aient une durée limitée dans le temps (un nombre d’utilisation) renforce l’immersion et le réalisme de la situation.

Mais attendez, durant le jeu vous escortez Ellie et je n’en parle pas… en fait, Ellie est débrouillarde, et le jeu est conçu de manière à ce qu’à aucun moment ce ne soit un boulet pour vous. Au contraire, elle pourra vous sortir de situations délicates. Ainsi, jamais elle ne sera à l’origine de vous faire repérer par un ennemi. Il pourra ainsi arriver qu’on la voit changer de planque en passant sous le nez et la barbe d’un ennemi, tout en faisant du bruit, sans pour autant se faire repérer. Cela peut déranger le côté immersif, mais en contrepartie cela évitera dans bien des situations de vous voir gâcher votre stratégie d’infiltration, et au final on apprécie de pouvoir jouer sans se soucier d’un personnage géré par le jeu.

Et pendant qu’on est dans le sujet, non il n’y a pas de mode coopération, et étant donné le déroulement du jeu, cela gâcherait complètement sa découverte et les émotions qu’il procure.

Concernant les ennemis, il faudra donc faire face à des humains prêts à tout pour survivre, tout comme nous. Ils n’hésiteront pas à vouloir vous faire la peau. Pour cela ils s’organiseront en bandes, et si vous restez planqué au même endroit trop longtemps il ne faudra pas être surpris d’en voir faire le tour pour vous prendre à revers ou se planquer lorsque la situation tourne en votre faveur.

Lors d’infiltration, il faudra bien éviter de passer devant leur champ de vision où ils viendront vérifier ou dans le pire des cas ils vous repèreront et ne vous feront pas de cadeau.

Ce paragraphe peut vous spoiler en partie les infectés rencontrés si vous n’avez pas regardé de vidéo ni testé la démo, mais que les autres se rassurent je n’en dirai pas plus que ce que vous avez déjà pu voir.

Côté infectés, l’approche dépendra du type. Les « coureurs » sont des infectés à un stade peu avancé. Ils ont encore leur apparence humaine mais semblent enragés et vous fonceront dessus. Par chance, le combat au corps à corps est encore possible, en espérant qu’ils ne soient pas trop nombreux. Les « claqueurs » sont à un stade plus avancé et ont leur tête défigurée par le champignon qui se développe. Aveugles, ils vous repèreront au bruit, il faudra donc être très discret. Oubliez le corps-à-corps, à moins d’avoir confectionné un surin, car leur morsure est mortelle. Préférez les contourner ou bien les affrontez avec un bon équipement.

Fin du potentiel spoil sur les ennemis infectés.

Lors de situations plus calmes, il est fortement recommandé de vérifier dans tous les tiroirs et tous les placards la présence d’éventuels objets, documents et munitions.

Le jeu comporte beaucoup de collectibles de différentes natures et il est capital de toujours bien fouiller partout si vous voulez avoir une chance d’en trouver un maximum. Tout collectible trouvé et enregistré (lors de la sauvegarde automatique assez fréquente) est mémorisé, et même s’il réapparait en refaisant un chapitre ou une nouvelle partie, il est considéré comme acquis.

The Last Of Us propose un gameplay vraiment adapté à la situation et la sensation de survie est bien présente.

Le petit défaut qu’on retrouvait déjà dans Uncharted, c’est que lors de phases de combats en présence de coéquipier, on sait à quel moment on en a fini car il se relève immédiatement et la musique cesse. Le stress se lève d’un coup et s’en est presque dommage. Durant les phases où l’on est seul, on ne sait jamais trop lorsque l’on a fini d’éliminer les ennemis et c’est bien plus immersif d’être dans ce doute.

Graphisme & Animation

Le jeu est juste magnifique. Les graphismes en eux-mêmes ne sont pas parfaits, on est très loin d’avoir des décors chiadés comme dans un God Of War 3 ou Ascension, mais c’est surtout l’ambiance représentée et la foultitude de petits détails qui font qu’en jouant on est vraiment plongé dans l’univers et que le jeu parait si beau.

Car à bien y regarder de près, les textures sont parfois grossières, les éléments du décor pas top (les buissons notamment), mais le monde apocalyptique est vraiment bien illustré, et encore une fois des détails d’animation comme une chaise de bureau qui roule et tourne sur elle-même lorsqu’on la bouscule, des papiers qui volent au vent etc, tout ça nous plonge littéralement dans le jeu et nous scotch.

Un gros travail a été réalisé également sur les jeux de lumière. On a droit à des endroits clos et sombres dans lesquelles la lampe sera bien utile, et des endroits où la lumière du soleil sera limite éblouissante. Les rayons qui percent au travers des trous dans les murs et pointent sur le sol sont également du plus bel effet.

Les animations des personnages et les émotions passées par les expressions des visages lors des cinématiques sont sublimes.

En plus de cela, les décors sont vastes et variés, vraiment variés, et on prend un réel plaisir à les explorer et à fouiller chaque recoin du jeu.

Bande son

Le son joue un rôle capital dans ce jeu. Déjà la musique, sublime, touchante, qui aidera lors de certains passages à ce que la larme qui pointait dans le coin de l’œil coule pour de bon.

Le thème de The Last Of Us est vraiment prenant, émouvant, mais heureusement pas trop présent. En effet on pourra se retrouver un moment sans musique lors des phases d’explorations, tandis qu’en combat la musique augmentera bien comme il faut le stress déjà bien présent.

Côté son, il sera primordial pour bien situer vos ennemis, ne pas faire de bruit. Le bruit des infectés vous donnera des sueurs froides.

Les voix françaises sont assez sympas, le jeu des acteurs est bon et les émotions seront bien exprimées même si certains ne jureront que par la VO. Heureusement il est possible à tout moment de changer la langue et les sous-titres.

Le tout est magnifiquement géré en 5.1 et l’immersion sera totale aussi bien avec un Home cinema qu’un bon casque.

Des bugs de son notamment dans la VF avaient été signalés lors des tests de journalistes. Il faut savoir que ces bugs ont été corrigés via un patch 1.01 disponible à la sortie du jeu, et que seule une scène contient encore un décalage du son d’un des personnages qui parle du coup en même temps que son interlocuteur, mais cela ne concerne que quelques phrases.

Durée de vie

Cette aventure vous garantit de très nombreuses heures de jeu et ce même si vous n’avez pas l’âme d’un survivant et préférez tracer votre route plutôt que de fouiller partout. Dans ce cas, il vous faudra tout de même bien 12h de jeu pour en venir à bout, mais ce serait se gâcher une partie du gameplay. En étant plutôt dans l’optique de chercher des vivres, des documents et autres en revanche, vous atteindrez facilement les 18h de jeu voire beaucoup plus.

Sans compter que vous pourrez reprendre des chapitres ou faire une nouvelle partie+ pour récupérer le reste des collectibles ou améliorer au maximum votre équipement.

On en vient parfois même à se demander si on va à un moment arriver au bout de notre quête. Non vraiment, le jeu est plutôt long et c’est une très bonne chose.

Le multi aussi garantit son lot d’heures de jeu avec 2 campagnes de 84 parties chacune si tout va bien.

Trophées

On arrive aux choses qui fâchent. Autant le jeu est très bon, autant la liste de trophées est une des pires que je connaisse et n’est absolument pas à la hauteur d’un tel jeu.

En effet, sur 24 trophées (dont le platine), 8 correspondent au simple fait de finir une partie et une nouvelle partie+ dans les différents modes de difficulté. Déjà ça n’est pas très intéressant d’en avoir autant, mais en plus cela implique de terminer au minimum 3 fois le jeu (facile ou normal ou difficile, puis survivant et enfin survivant+). Si le jeu est sublime à faire une fois, la seconde et la troisième parties n’ont pas du tout la même saveur même si la difficulté survivant donne un intérêt supplémentaire.

Comptez également 4 trophées multijoueur qui imposeront au minimum 168 parties ! Par chance, il est possible de gagner des membres dans sa faction même en perdant les matchs, ce qui laisse une chance aux joueurs moins chevronnés. Mais encore une fois des trophées multijoueur viennent gâcher le plaisir des amateurs de trophées qui la plupart du temps aiment enchainer les jeux pour leur solo, et pas forcément se taper des heures de multi.

Le reste des trophées concernent les collectibles. Et il y a de quoi faire avec 141 collectibles en tout, répartis en différentes catégories : BD, documents, manuels de survie, pendentifs. La plupart se trouvent en fouillant les maisons, les tiroirs, les placards etc. Pour les pendentifs, il faudra parfois lever la tête pour les trouver.

Là où on peut féliciter Naughty Dog par contre, c’est sur la gestion de ces collectibles. Leur récolte est cumulée d’une partie à l’autre, ou en refaisant un chapitre. On peut même connaitre l’état de notre récolte à la sélection de chapitre puisqu’on voit pour chacun d’eux le nombre d’objets ramassés / à ramasser par catégorie.

Le fait qu’ils réapparaissent à chaque fois peut gêner en revanche.

Il y a également 2 trophées liés aux conversations. En effet, dans le jeu, il est possible de discuter de manière optionnelle avec d’autres personnages. Dans certains cas il faudra être au bon endroit au bon moment. Suivre Ellie qui découvre le paysage pourra se révéler efficace car il lui arrivera fréquemment de s’arrêter devant un objet et d’attendre que vous interagissiez avec elle.

On regrette l’absence de trophées du style « éliminer x ennemis de telle façon » dont Naughty Dog nous avait habitué avec Uncharted. On sent effectivement à la lecture de la liste qu’ils ont été fait « à l’arrache » comme nous le disait Christophe Balestra lui-même lors de la Masterclass et c’est vraiment dommage, cela terni un peu le tableau.

Pour couronner le tout, le jeu présente à l’heure du test (version 1.01) des bugs qui font que les trophées ne tombent pas toujours. Déjà que la plupart des joueurs n’en auront aucun avant de terminer le jeu (ça fait bizarre), ils auront en plus la mauvaise surprise de ne pas les voir tomber même après le générique de fin. Heureusement en relançant le jeu et en rejouant le dernier chapitre, ça fini par tomber, mais ça n’arrange rien au ressentit que l’on a sur ces trophées.

Certains diront qu’on s’en fout des trophées, et libre à eux de le penser, mais aujourd’hui, les trophées, succès, achievements et autres challenges peu importe leurs noms, on les retrouve dans tous les jeux, et pas seulement les jeux PlayStation ou Xbox, mais également sur les jeux Nintendo, smartphones ou les jeux flash sur le web, même s’il n’y a pas de gestion de profil qui les recensent dans ces derniers cas. Ne pas les prendre en considération, c’est ignorer un élément qui fait les jeux d’aujourd’hui.

En plus de cela, on peut aisément redouter de futurs ajouts à la liste via des DLC multijoueur qui bousilleront le % de notre liste et nous imposerons de passer des heures en multijoueur comme ce fût le cas pour Uncharted 3.

Trailer Officiel

 

Verdict

The Last Of Us est incontestablement un jeu fabuleux qui marquera la génération actuelle de consoles. L’aventure est superbe, l’immersion impeccable, on est pris aux tripes et on vit vraiment l’aventure avec cette idée de survivre à tout prix.

Le jeu n’est pas exempt de petits bugs, mais rien de bien méchant et on sent que la PS3 est poussée dans ses derniers retranchements.

On regrettera une liste de trophées (bugués) vraiment pas à la hauteur du jeu, mais pour le reste, c’est vraiment que du bon et on espère pouvoir rejouer à un jeu de cette trempe à l’avenir (pourquoi pas un TLOU2).

Les :

  • magnifique : graphismes, ambiance sonore, narration
  • très bonne durée de vie
  • le choix tactique : affrontements ou esquive
  • les nombreuses surprises que réserve le jeu
  • la gestion cumulée sur les parties des collectibles

Les :

  • une liste de trophées parfois bugués vraiment mauvaise
  • un manque d’originalité du multi malgré les promesses et sa scénarisation
  • 3 parties imposées par les trophées
  • l’absence d’infectés dans le multijoueur
  • les liaisons entre le multijoueur et Facebook

Suggestion

4 réflexions sur “[Test] The Last Of Us

  • Ashesheart

    Très bon test Vavache, j’aime bien ton passage sur les trophées. J’ai joué deux heures hier en normal et j’en suis à 21%. Combien de temps as-tu mis pour terminer le premier run ? Tu as traîné un peu ?

    J’avoue ne pas avoir tout lu pour ne pas être trop spoilé mais as tu parlé également du bug de synchronisation des voix Françaises, des mouvements et des sous-titres ?

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    • Vavache

      Tu peux tout lire sans crainte, je n’ai rien spoilé 😉

      Je l’ai fini une première fois en normal en 18h10 en fouillant partout mais sachant que j’ai eu le bug de sauvegarde qui m’a fait perdre pas loin de 8h de jeu (j’ai dû recommencer au niveau de la démo) et donc j’ai forcément été plus vite en refaisant.
      Je serai toi je ne regarderai pas le % de progression de la sauvegarde, car savoir où tu en es dans l’histoire c’est une forme de spoil, tu sais s’il va arriver encore beaucoup de choses ou pas.

      Les sous-titres j’avoue ne pas les avoir beaucoup éprouvés pour le moment.

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  • LoSanno

    Très bon test à ce que j’en ai lu. Perso, je le commence demain 🙂

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    • Vavache

      Tu ne vas pas le regretter ! Et la bonne nouvelle c’est qu’on peut à priori ne faire que 2 fois le jeu et non 3, et qu’on peut écourter le multijoueur, de quoi rassurer les chasseurs de trophées !

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