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[Évènement] PlayStation Playfest 2013

Je vous le teasais vendredi matin, j’ai eu la chance de pouvoir me rendre à cet évènement organisé par PlayStation Europe, à Londres.

Et la journée à été riche en informations, dont voici compte-rendu détaillé.

[Mise à jour du 30/07/2013] : ajout de la vidéo.

Chaque année au début de l’été, PlayStation Europe organise un évènement, le Playfest, afin de présenter aux journalistes et leurs enfants les jeux vidéo prévus pour la fin de l’année pour ces chers bambins.

We Are PlayStation pouvait inviter un parent et un enfant pour se rendre à l’évènement. Après des propositions à des membres du sites qui ont été déclinées, faute de pouvoir se libérer (une pensée pour GregPo), c’est finalement à moi que l’on a proposé d’y aller avec un de mes neveux (Maxence, 10 ans) et son papa. Je ne pouvais pas refuser une telle opportunité !

Le trajet

Je ne vais pas vous ennuyer avec le trajet, si ce n’est vous dire que l’un d’entre nous n’a pas puvenir, et un autre a bien faillit rester gare du Nord à cause de soucis de papiers d’identité. Durant le séjour, Maxence et son papa ce sont mis en condition en jouant à LittleBigPlanet sur ma PlayStation Vita.

L’évènement

Le PlayStation Playfest se déroulait les 12 et 13 juillet, de 10h à 16h, à Londres. Si les années précédentes, PlayStation Europe louait une salle pour l’évènement, cette année il avait lieu dans les locaux mêmes, plus précisément dans la cantine aménagée pour l’occasion.

En arrivant, j’ai été surpris par le nombre impressionnant de stands et de jeux représentés dans une salle pas si grande que ça. Moi qui espérait voir 2 3 jeux, cela dépassait largement mes rêves les plus fous. Un ilot Wonderbook, une espace PlayStation 4 !, Une piste de dance DanceStar Party, Rayman Legends, Tearaway, Invizimals et un atelier doublage, Tearaway et un atelier bricolage, Puppeteer, des zones PlayStation Vita et même Ratchet & Clank Nexus (in the Nexus en anglais) pourtant dévoilé seulement la veille !

Aucun embargo, j’ai pu photographier librement et je peux vous parler sans réserve de ce que nous avons vu. En même temps, sur un évènement destiné aux enfants, je pense qu’il aurait été difficile de leur demander de tenir leur langue.

La grosse différence avec la plupart des salons ouverts au public, c’est qu’en lieu et place d’hôtesses engagées pour l’occasion, c’était sur la plupart des stands des membres des équipes de développement qui étaient là pour présenter les jeux. J’ai donc pu poser des questions et avoir des réponses précises, et c’est vraiment, mais vraiment appréciable, surtout sur des jeux dont on sait encore peu de choses.

A savoir que pour la plupart des jeux que nous avons pu tester, ce sont des versions de développements.

Équipé d’une carte des lieux et de fiches explicatives, nous avions donc la journée pour essayer les jeux, poser des questions (surtout moi, Maxence ne parlant pas anglais, et la plupart des intervenants ne parlant pas français) et réaliser les séquences avec le caméraman de We Are PlayStation.

Je vous donnes mes impressions pour chacun des jeux à la suite de cet article.

J’ai même eu le plaisir de croiser rapidement Medeea, Pixeltux et IOtaSan, modérateurs du PlayStation Forum pendant leur pause (car eux étaient là pour travailler).

Il était possible de boire et manger à notre guise. En effet, un buffet était alimenté toute la journée avec des viennoiseries, des salades, de la charcuterie, des sandwichs, des chips, des frites, des fruits, des gâteaux, et des boissons. Il était même possible d’avoir des popcorns et de la barbe à papa ! Bref, nous étions vraiment accueillis comme des rois, c’en était presque gênant.

Les Jeux

Voici donc mes impressions sur :

J’ai fait l’impasse ou suis passé rapidement sur :

  • Wonderbook Diggs Nightcrawler (PS3), dont vous pouvez lire mon test complet

  • Lego Marvel Super Heroes (PS3 et PSVita) et Lego Legends of China: Laval’s journey (PSVita), ayant vraiment du mal avec la licence Lego et n’ayant pas franchement eu le temps de me pencher dessus

  • DanceStar Party Hits (PS3), n’aimant pas danser, mais beaucoup de monde a semblé vraiment s’amuser sur les chorégraphie proposées

  • LittleBigPlanet Karting (PS3) et LittleBigPlanet (PSVita), les jeux n’étant plus des nouveautés. Vous pouvez lire mon test complet

  • Sports Champions 2, car là encore il ne s’agit pas d’une nouveauté

  • Gran Turismo 6. Je ne me suis pas posé au volant de la borne, j’ai juste regarder le jeu tourner. Il ne m’a pas semblé voir de grande différence avec GT5

  • Skylanders Giants, car malheureusement il ne s’agissait pas de Swap Force mais du jeu de l’année dernière, dont vous pouvez lire mon test complet

  • Les Schtroumpfs 2, parce que bon, voilà quoi. C’est à priori un jeu de plateforme assez classique
  • Pro Evo, et je n’ai pas souvenir de l’avoir vu à un stand à vrai dire
  • Jak and Daxter Trilogy (PSVita), je n’ai pas eu le temps de l’essayer, il faudrait d’ailleurs que je finisse la trilogie sur PS3
  • Pulsar (PSVita), Table Top Tanks (PSVita), Table Golf (PSVita), Open Me! (PSVita) et Smart As (PSVita) par manque de temps
  • Sly Cooper : Voleurs à travers le temps dont vous pouvez lire mon test complet
  • Epic Mickey 2 (PlayStation Vita), jblaster vous prépare un test complet pour très bientôt

  • Jacob Jones dont vous pouvez lire mon test complet
  • Flower car je l’ai déjà terminé et que c’est loin d’être une nouveauté

  • Fifa13 car je n’aime pas le football

Knack (PlayStation 4)

J’attaque directement mes impressions avec Knack sur PlayStation 4. Dès les premiers trailers j’exprimais ne pas aimer particulièrement le personnage, sorte d’amalgame d’objets. Le jeu en lui même est très beau même si les décors que j’ai vu ne sont pas hyper fournis. Le jeu mélange les phases d’actions avec des combats au corps à corps et des shoot avec des phases d’énigmes, comme par exemple se débarrasser d’une partie de ses éléments pour devenir plus petit, passer des lasers et reprendre son apparence. Il est aussi possible de se métamorphoser en glace et d’avoir d’autres attaques. Mais je suis très loin d’avoir vu tout ce que le jeu avait à offrir en terme de gameplay.

C’est Mark Cerny, l’architecte principal de la PlayStation 4 qui assurait l’animation du stand, enfin normalement, sauf que je ne l’ai pas vu.

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The Playroom (PlayStation 4)

Bien que ce ne soit qu’une application démo pour présenter les fonctionnalités et les possibilités du nouveau controller et de la nouvelle caméra, c’est finalement sur The Playroom que nous avons passé plus de temps du côté de la PlayStation 4. Au passage, nous n’avons pas vu la console dans sa version finale, ce sont des machines de développement qui était utilisées et bien planquées dans des meubles.

Pour jouer à The Playroom, qui sera présent dans la console, il vous faudra posséder la PlayStation Caméra. Cette dernière est HD 720p, possède 2 objectifs et est donc stéréoscopique. Elle est capable de détecter des visages, des formes et des objets dans l’espace, avec différentes profondeurs de champs. Ses 4 micros en façades lui permettent de capter les sons, et pourquoi pas des ordres ou des consignes si les applications ou les jeux sont programmes avec ses possibilités.

Munis de votre controller Dualshock 4 et de son bouton tactile (car oui, c’est un bouton que l’on peut appuyer), vous pouvez lancer plusieurs mini « jeux ». Basée sur la réalité augmentée, vous vous voyez dans la télé, cette fois si avec une image nette.

Dans le premier jeu, vous faites appel à un droïde volant au look futuriste (on reconnait la patte graphique de l’équipe de WipeOut qui a travaillé sur The Playroom). Et déjà, on réalise que la PlayStation 4 va vraiment proposer des jeux plus beaux que les générations actuelles. Le droïde est extrêmement bien modélisé, avec des contours fins et une texture d’aspect métallique et brillante du plus bel effet.

Ce droïde va s’amuser à scanner vos visages, et si vous lui donnez des baffes, il se vengera en vous transformant le visage en glaçons ou en mettant le feu à vos cheveux (vive la réalité augmentée). Il sera triste si vous quittez la pièce ou cachez vos visages avec vos mains, et il s’amusera si vous lui chatouillez les pieds.

Un autre jeu vous permettra de jouer avec des petits robots, présents dans votre manette ! Si si, je vous assure, la preuve, une caméra située dans la manette vous permettra de les voir à l’écran. Et si vous secouez la manette, vous les verrez ballotés dans tout les sens, et vous les sentirez et les entendrez depuis votre manette. En effet, un haut-parleur de qualité émet des sons depuis la Dualshock 4, et la présence de 2 moteurs indépendants offre de nouvelles possibilité de faire vibrer la manette pour des effets encore plus variés et des sensations nouvelles.

Toujours pour perturber ces robots, vous pourrez jouez de la musiques et de la lumière avec les touches et la croix directionnelle. Une vraie discothèque dans la manette. Ah mais non, la lumière du triangle lumineux en façades empêche l’ambiance boite de nuit. Qu’à cela ne tienne, mettez votre main devant ce triangle et la lumière se tamisera dans la manette (enfin l’image que l’on en a à l’écran).

Il est possible de faire sortir les robots de la manette pour interagir avec eux dans votre salon, à l’instar du droïde. Jusqu’à 30 robots sont gérés par la console. Vous pouvez aussi les faire rentrer à nouveau dans la manette en les aspirants. A partir d’un smartphone ou d’une tablette fonctionnant sous android ou ios ou d’une PlayStation Vita, vous pouvez créer des objets que vous envoyez toujours virtuellement dans votre salon pour que les robots puissent jouer avec.

Le troisième jeu est différent, il s’agit d’un air hockey dans lequel vous vous affrontez en 1 contre 1. Vous pouvez déformer le terrain en inclinant la manette, et déplacer votre bloc avec le bouton tactile de la manette.

The Playroom fait surtout office de démonstration et si c’est amusant à découvrir, on risque de ne pas y jouer des heures durant par la suite mais cela promet de belles choses avec la PlayStation 4, et pour moi qui n’était pas franchement emballé par la console, j’avoue que je commence à être intéressé et impressionné.

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Invizimals: The Lost kingdom (PlayStation 3) et Invizimals: The Alliance (PlayStation Vita)

Le stand était animé par Dani Sanchez-Crespo, directeur créatif et PDG de Novarama Technology, le studio Espagnol qui développe la licence Invizimals.

Tandis que Maxence découvrait le jeu, ou plutôt les jeux, Dani m’en expliquait le fonctionnement.

On commence avec Invizimals: The Alliance sur PlayStation Vita. Le jeu reprend le principe de ses ainés sur PSP. Avec la réalité augmentée (décidément très en vogue en ce moment), vous devez trouver et capturer des créatures cachées dans le décor, afin de les apprivoiser, les entrainer et les faire combattre (ça ne vous évoque rien? Pika Pika !). Le système est plus bien fait, l’incrustation des créatures dans le paysage environnant est vraiment bluffante.

Mais ce n’est pas tout, maintenant que vous avez capturé et entrainé vos invizimals, vous pouvez partir à l’aventure avec eux dans Invizimals: The Lost Kingdom sur PlayStation 3. Vous incarnez un jeune garçon qui peut se transformer en créature et vous pourrez participer à des combats d’invizimals.

A l’autre bout du salon, il était possible de voir comment se déroulait les enregistrements des voix pour un jeu vidéo, et il était même possible de prêter sa voix à une créature d’Invizimals !

Histoire de pousser le concept au maximum, les jeux vidéo seront aussi accompagnés de cartes à collectionner et de figurines.

Le tout est prévu pour noël, c’est quand même bien fait.

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Ratchet & Clank: Nexus (PlayStation 3)

Quelle ne fût pas ma surprise en découvrant sur un mur du salon l’affiche de Ratchet & Clank Nexus ! En effet, le jeu n’avait été officialisé que la veille et j’en parlais dans un article le matin même, sans avoir pour autant d’information.

C’est un des premiers jeux sur lequel Maxence s’est jeté. Pour ma part j’ai dû attendre un peu avoir mon départ pour pouvoir me poser dessus.

A peine vautré dans mon pouf et le jeu en train de se charger (avec le même icone de chargement que dans QForce), un des membres de l’équipe de développement (et là on voit bien que je ne suis pas professionnel, je n’ai pas demandé son nom et sa fonction) est venu m’assister, en me précisant qu’il s’agissait d’une version en développement, et en me demander si je connaissais déjà la licence. Je lui ai répondu que oui, et nous sommes donc rapidement passé dans les détails puisque le gameplay m’est familier.

Je lui ai demandé la durée de vie du jeu. En effet, comme il est prévu sur le PSN à petit prix (29,99€), j’étais un peu inquiet quand à la qualité du titre. Il m’a rassuré en me parlant de 7-8h, ce qui n’est pas extraordinaire mais déjà plus long qu’un Quest for Booty.

Le jeu se présente comme un jeu solo et complet, dans la droite lignée de A Crack Of Time. On retrouve des armes classiques comme Mr Zurkon, le cryomachin chose de QForce, mais aussi des armes inédites comme un créateur de mini-vortex, des bombes à impulsions etc.

Les 2 grosses nouveautés que j’ai retenu, ce sont des effets de lumières très travaillés, lorsque l’on s’aventure dans des tunnels sombres avec une lampe torche, et un nouveau mécanisme de gameplay : les portails.

Vous devez activer un portail puis un second, placé dans l’alignement du premier, afin de créer un faisceau capable de vous transporter. C’est vous qui décidez le sens du faisceau selon l’ordre d’activation des portails. Les énigmes se complexifient par la suite avec des faisceaux à faire se croiser et des portails à orienter dans la bonne direction.

La phase d’essai se termine lorsque l’on arrive dans une zone non finie, où les textures ne sont pas encore appliquées.

Ça reste du Ratchet & Clank classique mais comme on l’aime, et je pense que même ceux qui ont été déçus par All 4 One et QForce retrouveront le Ratchet qu’ils apprécient.

Pas de date de sortie précise, le studio veut vraiment s’assurer que le jeu sorte impeccable, après les déboires de QForce sur PlayStation Vita.

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Puppeteer (PlayStation 3)

Il était possible de poser des questions à Gavin Moore, maitre d’œuvre de Puppeteer qui était là pour présenter le jeu.

Fureter çà et là, tester des jeux, participer à l’enregistrement de la vidéo de We Are PlayStation, ça prend du temps, du coup je n’en ai pas franchement eu pour essayer moi-même Puppeteer.

Malgré tout j’ai pu observer Maxence y jouer. Il est comme on a pu le voir au travers de divers trailer, beau, les personnages ont des mouvements tels des marionnettes (c’est le principe du jeu), les niveaux se passent sur des scènes, donc pas vraiment d’exploration mais des épreuves qui s’enchaine, comme dans le cas de la démo essayer de retrouver sa tête et ramasser des pierres jaunes.

J’espère pouvoir m’y essayer moi-même à l’occasion pour me rendre mieux compte des tenants et aboutissants du gameplay.

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Wonderbook Walking with Dinosaurs (PlayStation 3)

Walking with Dinosaurs est un des jeux que j’étais le plus curieux de découvrir. Utilisant le Wonderbook et la réalité augmenté, il vous plonge de manière ludique et éducative dans l’univers de la préhistoire.

Le jeu était installé dans une zone Wonderbook animée par Dave Raynard, le réaliateur de Book Of Spells. zone qui comprenait aussi Book Of Potions dont je vous parlerai après, et Diggs Nightcrawler, sur lequel j’ai fait l’impasse puisque déjà testé et platiné, mais Maxence lui s’y est essayé et a même décrocher un trophée argent pas évident. La chance du débutant.

Revenons-en à Walking with Dinosaurs, inspiré de la série de la BBC. Malheureusement pour Maxence, le jeu était en anglais. Par contre il devait s’agir d’une version finale ou pas loin, car les trophées étaient intégrés.

Le jeu alterne des phases de mini-jeux, comme une fouille archéologique. Le PlayStation Move se transforme alors (dans la télé) en pinceau pour enlever délicatement la terre et faire apparaitre les fossiles, qu’il faudra ensuite extraire à l’aide dune pince (là encore représentée dans la télé mais il s’agit en fait du Move que vous dirigez).

Dans un autre jeu, vous devrez donner à manger des feuilles à des dinosaures au long cou, ou bien encore faire éclore des œufs (au marteau, ce qui me semble pas l’outil idéal en théorie, mais dans le jeu, ça fonctionne).

On pourra aussi mesurer le poids d’un diplodocus posé sur une balance en posant de l’autre côté des autocar et des camions.

Entre chacune de ces phases de jeu, un quiz : une question vous est posée, et 4 réponses sont possibles. Comme tous les jeux Wonderbook à destination des enfants, il n’y a pas de notion d’échec, si vous répondez mal, vous pouvez choisir une autre réponse, et ce jusqu’à trouver la bonne.

Ce qui m’a surpris en revanche, c’est que les questions portaient systématiquement sur des animaux d’aujourd’hui. Pour un jeu mettant en scène des animaux de la préhistoire, j’ai trouvé cela un peu dommage et hors de propos.

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Wonderbook Book of Potions (PlayStation 3)

Book of Potions est la suite directe de Book Of Spells, le Tome 2 du livre de magie en sommes. Cette fois il ne s’agit plus d’incanter des sortilèges l’aide de la baguette magique (le PlayStation Move représenté dans la télé comme telle, encore de la réalité augmentée), mais de réaliser des potions magiques en mélangeant des ingrédients dans un chaudron et en mélangeant. On pourra par exemple créer une potion qui fera danser une grenouille.

Le jeu s’annonce très similaire à son ainé, avec toutefois du gameplay inédit.

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Rayman Legends (PlayStation 3 et PSVita)

Initialement prévu uniquement pour la Wii U, nous aurons la chance de pouvoir jouer à Rayman Legends sur PlayStation 3 et PlayStation Vita. Le jeu est magnifique, au moins autant qu’Origins si ce n’est plus, et le gameplay est renouvelé avec par exemple dans l’eau des sorte de sentinelles avec un faisceau lumineux dans lequel il vaut mieux éviter de se trouver, et des phases de speedrun encore plus folles que précédemment.

La PlayStation Vita et son écran tactile permettra des phases de gameplay spéciales et donc des niveaux supplémentaires.

On notera au passage que le papa de Maxence peinait un peu à un certain passage du jeu, et qu’en remettant la manette à un enfant de 3 ans à peine, ce dernier est passé du premier coup. Mais rassurez-vous le challenge et la difficulté seront au rendez-vous.

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Tearaway (PlayStation Vita)

Tearaway fait partie des jeux que j’attends le plus à la fin de l’année. Créé par le même studio que LittleBigPlanet, on retrouve se côté poétique et le fait de jouer avec les matières.

Ici, tout est en papier, le décor, le personnage et ceux que l’on rencontre.

Au début de la démo qui était à disposition, on nous demande des infos sur nous : couleur de peau, des yeux, si nous sommes droitier ou gaucher etc. Cela servira plus tard dans le jeu même si tout n’est pas utilisé dans la démo. La couleur de peau permet par exemple représenter votre doigt à l’écran lorsque vous appuyez sur le pavé tactile arrière dans certains endroits de manière réaliste.

Ensuite, on doit choisir le « messager » que l’on souhaite diriger : Atoi la fille ou Iota le garçon. La chose qui m’a surprise au début, c’est l’impossibilité de sauter. Je ne m’attendais pas à cela, mais heureusement on acquiert la capacité de sauter plus loin dans le jeu (et j’imagine d’autres capacités).

Durant le jeu, on peut ramasser des confettis. Ces derniers viennent remplir une jauge sur la droite de l’écran et une fois rempli entièrement, un élément de décoration est débloqué et la jauge se vide.

On devra lors de certains passages utiliser des tamtam pour nous projeter en l’air. J’avoue avoir eu du mal à les utiliser, je n’ai pas encore bien compris s’il fallait appuyer rapidement ou fortement. Je pense qu’il y a une habitude à prendre.

Face à certains ennemis, il faudra ramasser des petites boules de papier et leur lancer dessus. La visée est automatique du moment que l’on est orienté face à eux.

On pourra aussi ouvrir des cadeaux en tirant simultanément sur les 2 languettes avec l’écran tactile.

Le stand permettait d’essayer la démo du jeu donc, mais aussi de réaliser des créations en papier dans l’esprit de ce que l’on trouve dans le jeu.

Pour la petite histoire, lorsque nous sommes revenu sur le stand pour faire des prises de vue pour la vidéo We Are PlayStation et que j’expliquais à une jeune femme sur le stand qu’on faisait une interview, cette dernière a cru que l’on souhaitait faire une interview de Rex Crowle, concepteur en chef de Tearaway. Ce dernier est donc venu à côté de moi et me demandait si j’avais un micro, j’ai du lui expliquer poliment que l’interview ne se faisait pas avec lui. Il a bien pris la chose et j’en ai tout de même profité pour les poser des questions notamment sur l’utilité des confettis.

Il m’a expliqué que c’était uniquement pour débloquer des éléments de créations car tout le monde n’a pas forcément de talent pour ça et que cela permettait de remplacer les créations que l’on peut faire à certains moment du jeu (dans la démo par exemple, j’ai fabriqué une couronne pour un écureuil). Il m’a dit également qu’il y aura certains des trophées liés à tout cela.

J’avais noté en jouant que si on utilisait un doigt de la main gauche sur le pavé tactile arrière alors qu’on avait dit être droitier, c’était un doigt de la main droite qui était représenté à l’écran. Ils sont conscients de ce genre de choses mais il est assez difficile d’y faire face, la plupart des gens n’utilisent pas les 2 mains pour le pavé tactile.

Concernant les tamtam, ils ont fait en sorte qu’en propulsant le personnage en hauteur il va naturellement au bon endroit, il ne faut donc pas chercher à le diriger, c’est sans doute pour cela que j’avais du mal et que j’ai loupé plusieurs sauts.

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La fin

A la fin de la journée, nous avons quitté les lieux en nous voyant remettre chacun un sac de goodies que je vous présenterais dans un autre article très bientôt.

Après une petite balade dans les rues de Londres, nous avons regagné la gare et sommes rentrés, des images et des infos plein la tête.

J’ai donc 2 choses qui me viennent à l’esprit à l’issue de cet évènement :

  • Je remercie infiniment We Are PlayStation pour cette invitation et cette journée fabuleuse, l’équipe qui nous a accompagné a vraiment été géniale, et PlayStation Europe pour la réalisation impeccable de cet évènement.
  • Vivement la fin de l’année qui s’annonce riche en plaisir vidéoludique !

La vidéo

SUGGESTION

11 réflexions sur “[Évènement] PlayStation Playfest 2013

  • Ashesheart

    Superbe article ! Ca avait l’air vraiment sympa ^^

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  • GregPo

    Déçu (bien sur) d’avoir raté ça (même si perso j’aurais passé un peu plus de temps que toi sur le stand Lego) …Mais au moins c’est un actif de WAP (et pas des moindres ^^) qui en profite et nous en fait profiter via le blog…Merci pour ce joli résumé !!!!

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    • Vavache

      Ce qui doit compenser ta déception c’est que tu as vécu un heureux évènement qui t’as empêché d’y aller. Désolé pour Lego, j’ai vraiment du mal, et la journée est passé vite je n’ai pas pu tout tester à fond.

      A mon avis tu seras encore un peu déçu en découvrant les goodies, ton fils en tous cas. Ceci étant, on aura bien l’occasion de se croiser.

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  • bosstristan

    Quelle chance tu as eu, et très bon article !
    Surtout de pouvoir tester en avant première R&C ITN, j’aurais tant aimé :/
    J’attend avec impatience de savoir quels goodies tu as ramené !

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  • Camus00

    Superbe article. J’en conclus que tu as pu poser les pattes sur la PS4. Knack ne me botte pas plus que ça, mais je retiendrais surtout les jeux Wonderbook, qui pourrait dans un avenir proche plaire à ma fille. Merci pour ce compte rendu camarade !_!

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    • Vavache

      J’ai plus été amusé par The Playroom que par Knack finalement, mais surtout j’ai réalisé que la PlayStation 4 pouvait vraiment être un plus, au-delà et graphismes qui sont bluffant. Reste à voir ce que les développeurs en feront.

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  • Faucon Bleu

    Eh bien, j’aurais beaucoup aimé être là, moi aussi, merci pour cet article 🙂

    Concernant {{ {Ratchet & Clank Nexus} }} (Oui, pas ITN {{bosstristan}}, on est en Europe 😉 ), 7-8h c’est juste légèrement inférieur à la durée de vie moyenne d’un {Ratchet & Clank}, mais c’est vraiment pas mal du tout pour 30€, sachant que {Quest For Booty} avait une durée de vie d’environ 3h.

    Il me tarde de voir enfin l’épisode de conclusion de la saga {Future} qui, désormais, ne sera plus une trilogie et probablement le dernier épisode PS3 de la saga {Ratchet & Clank}. ….. :'( ….. C’est rien, l’émotion…

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  • Thibault

    Belle opération, sacrée coup de com de la part de Sony, je ne connaissais pas l’existence d’une telle opération bien que j’ai eu la chance de travailler dans le jeu vidéo quelque temps, c’est vraiment bien imaginé d’inviter à la fois les journalistes et leurs enfants pour profiter des derniers jeux de Sony, c’est le rêve 🙂

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  • neoseth

    OMFG ! Donne trop envie ! GG pour ton compte rendu plus que complet ! continue 😉

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  • Milrael

    Bon compte-rendu, avec en plus les photos à l’appui 🙂

    M’intéressant particulièrement aux jeux en coopération en ce moment, pourrais-tu préciser quel est celui qui te semble le plus adapté pour jouer avec un partenaire hors ligne dans ceux que tu as testé (dommage d’ailleurs que Ratchet & Clank semble n’être qu’en solo) ?

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    • Vavache

      En effet Ratchet & Clank n’est qu’en solo, les seuls épisodes coop de la licence sont All 4 One et QForce, d’ailleurs jugés comme les moins bons épisodes par la plupart des joueurs.

      Finalement la liste est courte, je vois Rayman Legends sur PS3 et Skylanders dont le prochain épidose sortira aussi à la fin de l’année.

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